lundi 17 juillet 2017

Farniente & Dolce Vita


Molle, molle, molle, c'est comme ça que je me sens en ce début (milieu?) d'été. Pas encore en vacances, plutôt fatiguée, à peine motivée par des soirées en terrasse dans la torpeur de la canicule... Faut dire que j'ai pas mal bougé ce printemps, vous l'avez sans doute vu sur mon compte Instagram. Après un séjour de rêves aux thermes Saint-Malo, j'ai enchaîné les voyages de presse à Rome, Paris, puis à la Gacilly dans l'ecospa d'Yves Rocher (une superbe découverte, il faut que je vous raconte aussi). Et vous savez quoi? Eh bien ça me va très bien de vivre à ce rythme! Marre de me foutre la pression, si j'ai envie de glander sur ma canapé, je le fais et j'arrête de culpabiliser. J'aime passer du temps dans ma cuisine aussi, c'est un plus. Je lis beaucoup. Je savoure la vie quoi! A l'italienne en somme, normal vues mes racines (50% rital, c'est génétique: le farniente fait partie de mon ADN).


Je me suis régalée avec ce séjour express dans la capitale pour le lancement du nouveau parfum Bulgari, fin mai. Levée au milieu de la nuit pour prendre un avion à 7h (l'absurdité des voyages de presse), je me suis retrouvée à 8h30 à fumer passivement devant l'aéroport avec ma pote en attendant un chauffeur introuvable (aaaaah, ce flegme italien), à une heure où d'habitude je sirote encore mon Earl Grey en pyjama sur mon canapé. Du coup, on a eu le temps de faire un paquet de choses durant cette looongue journée qui s'est terminée un peu avant minuit. Dont un peu de shopping dans le quartier de notre hôtel, un délicieux palace légèrement décati. Et une visite obligatoire dans une église pour allumer un cierge ou deux (trois même pour ma part).


Outre Zara et &otherstories, il y avait aussi juste derrière l'hôtel une petite boutique Santa Maria Novella. Des produits hors de prix qui font frémir toutes les journalistes beauté, avec leur packaging rétro et leur histoire née dans la plus vieille pharmacie de Florence en 1612, ce qui en fait la plus ancienne marque encore vivante du monde occidental! Les parfums sont à tomber, des colognes merveilleuses parfois dominées par l'iris de Florence, mon odeur préférée. Les eaux florales vous garantissent un teint de reine rien qu'à les contempler. Les savons, le thé et les pastilles satisfont les petites bourses. Bref, on y est restées des heures, on y est même revenues après avoir hésité à acheter le lait pour le corps, pour finalement renoncer (50€ quand même).


Le petit savon à 10€ a fait le bonheur de ma maman, à qui il a rappelé son enfance en Italie. Quant à moi, je me suis rabattue sur le bon vieux Borotalco, tout aussi enivrant en terme de souvenirs olfactifs. On peut l'acheter par paquet de 2 X 100 gr dans nos supermarchés locaux pour 3 fr. 80!

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