lundi 25 novembre 2013

Polly lit: trois polars pour nuits froides


Mes trois auteurs féminins de polar préférés ont toutes sorti un nouveau roman cet automne. Inutile de vous dire que je les ai dévorés...

Fétiches, de Mo Hayder
C'est le sixième épisode des aventures de l'inspecteur Jack Caffery et de la fliquette Flea Marley dans le sud-ouest de l'Angleterre, dans la région de Bristol... Et on peut dire que l'attirance de ces deux accidentés de la vie que tout oppose s'affirme un poil plus dans cette nouvelle affaire. Un poil. En attendant, Jack met son nez dans les dossiers d'un hôpital psychiatrique où patients et personnel semblent victimes d'hallucinations collectives tandis qu'un dangereux psychopathe disparaît dans la nature. Suspens de malade et détails bien sordides, Miss Hayder frappe encore un grand coup dans le style gore qu'elle affectionne et qu'on imaginerait très bien sur grand écran.
Presses de la Cité, 425 p.

Mort sur la Tamise, de Deborah Crombie
Dans cette série policière tout aussi britannique, le couple de héros est ensemble à la ville comme au commissariat. Gemma James et Duncan Kincaid forment une attachante famille recomposée dans leur maison de Notting Hill, tout en dealant au quotidien avec les crimes les plus cruels. Dans celui sur lequel enquête Duncan, la victime est une membre de la police passionnée d'aviron et retrouvée noyée près de son bateau... Et comme d'habitude, ce sont les intuitions et les entêtements de Gemma qui vont permettre au coupable d'être confondu. J'adore l'ambiance londonienne du récit et le mélange entre destin des personnages et intrigue purement judiciaire. Un peu comme chez mon auteur de polar préférée de tous les temps, Elizabeth George...

Albin Michel, 400 p.

L'île de Nera, de Elizabeth George
...Malheureusement, la plus américaine des auteurs de polar anglais délaisse pour un temps son héros, l'inspecteur Thomas Lynley et son entourage gratiné, pour une nouvelle série à laquelle je n'accroche pas du tout. Bon, je crois que je ne suis pas tout à fait le public cible puisque Elizabeth George avoue vouloir capter un nouveau lectorat plus jeune, celui de Twilight. Becca King est donc une adolescente qui entend les pensées des autres et découvre par malheur que son beau-père a tué son associé. Sa mère et elle changent d'identité et s'enfuient vers le Canada. En chemin, Becca est confiée à une amie qui vit sur l'île de Whidbey (lieu de résidence de l'auteur) mais le soir de son arrivée, sa protectrice décède et la jeune fille doit improviser pour survivre. L'île de Nera est le deuxième épisode de cette saga, où l'on n'apprend rien de plus sur l'intrigue principale. Mais Becca passe quelques mois de plus dans la communauté d'insulaires, avec son lot de joies et de peines. Elle rencontre une étrange femelle phoque entièrement noire qui semble avoir muté génétiquement. Honnêtement, on s'ennuie ferme dans ce récit sans surprise... Pitié, Elizabeth, donne-nous des nouvelles de Linley!!!
Presses de la Cité, 397 p.



dimanche 24 novembre 2013

Idées cadeaux pour Noël

Eh oui, Noël, c'est dans un mois! Personnellement, j'ai déjà fait UN cadeau, le plus facile, celui de mon papa, l'abonnement à son quotidien préféré! Pour moi, je me suis déjà fait PLEIN de cadeaux, c'est facile! Pour les autres, ben va falloir cogiter sérieusement. En attendant, le catalogue Manor m'a donné plein d'envies, par exemple:



De la très jolie vaisselle Grand Hôtel, tasse à expresso et sous-tasse, 9 fr. 90.



Un taille-crayon vintage Caran d'Ache (mon papa en avait un à son bureau quand j'étais petite, j'adorais l'odeur de graphite qu'il dégageait. Edition limitée, 195 fr.



Coffret à cupcakes pour petite fille, 17 fr. 90



Kit de bricolage pour cycliste, 24 fr. 90



Kit pour cirer ses chaussures, 26 fr. 90




Et sinon un chargeur de secours pour téléphone mobile, iPod etc, parce que notre ère du tout électronique a fait de nous des boulimiques d'énergie et des phobiques de la panne!!! J'ai trouvé le mien chez Colette, pour 45 euros!

Et le CD de Noël tiré de la série Mad Men, surtout parce qu'il est quasi introuvable (sauf à prix d'or sur amazon.com)

Et vous, déjà des idées?

dimanche 17 novembre 2013

Shopping Londres (suite) et sorties


Je vous disais donc que nous n'étions pas sorties pendant notre week-end à Londres entre copines (4 filles de 32 à 40 ans). J'ai pourtant collecté moult flyers pour nous tenir au courant des possibilités. Je regrette surtout la soirée Rock-a-Hula au Bloomsbury Lanes, un bowling rétro dont je vous parlais déjà lors d'un autre séjour au pays du rosbeef. Rock'n'roll, hula hooping and swing dancing promettait le flyer, dans un style assurément 50's, mais bon, soupir, la prochaine fois! Si vous êtes à Londres le 7 décembre, il y en a une autre! Ne la manquez pas!



Le Borderline est un club rock classique en plein coeur de Soho, il y a des rendez-vous comme les mercredi punk, rock, métal du flyer tout en haut de l'article. Renseignez-vous avant pour savoir quel type de soirée correspond à vos goûts musicaux, et regardez les horaires, ils sont parfois spéciaux (deux événements qui n'ont rien à voir lors d'une même soirée). Je découvre aussi à chaque fois de nouveaux endroits insolites, comme cette soirée 100% vinyle des années 50 et 60, le premier samedi du mois, au Brown Derby, un pub dans le quartier de Kennington, au sud de la Tamise...


Sinon je vous le disais, c'était pré-Halloween donc bon nombre de soirée avaient pour thème les zombies et les monstres. Comme ce Derby de Roller Girls, un gros trend en ce moment. Si vous êtes à Londres le 14 décembre, les London Rockin Rollers organisent un événement similaire, au Newham Leisure Centre, l'après-midi! A voir absolument si vous avez aimé le film de Drew Barrymore, Bliss! Le 26 octobre, il y avait aussi une soirée organisée par une autre équipe, les London Rollergirls, cette fois en soirée, au T Chances, un club de banlieue, à Tottenham (un peu loin, j'en conviens).



 Si vous êtes à Londres encore le 14 décembre, ne manquez pas le marché vintage de Bettina Scarlett, à Hammersmith, The Mid Century Christmas Market, fringues et accessoires des années 40 et 50... (adresse sur le flyer ci-dessous à gauche)


Retour à mes adresses shopping. Parmi toutes les échoppes de Camden Stables Market, j'ai retenu deux flyers, Greyhound Vintage et Vintage King, tout petits espaces avec de vrais trésors vintage à l'intérieur, à retrouver dans le dédale souterrain de ce marché sans fin (aïe aïe aïe les jambes quand on trotte déjà depuis le matin!).


Et deux classiques enfin, ma chère Vivien of Holloway, dont je n'ai toujours pas réussi à visiter le shop, un rien excentré (mais boutique on line, si jamais). Et l'immense magasin de second hand Blitz, à Bricklane, qui comme tous les magasins du genre, ne fait pas mon bonheur (trop de frippes et de coupes improbables, jamais ma taille, pour sûr, mais un classique qui revient tout le temps dans les listings de bonnes adresses londoniennes, un peu comme Beacon's Closet à Brooklyn!).



Voilà voilà le partage de mes découvertes, n'hésitez pas à me faire part des vôtres si vous êtes de passage à Londres, je les collecte toujours avec plaisir!

samedi 16 novembre 2013

Shopping à Londres

Il fut un temps où j'allais à Londres essentiellement pour faire la fête dans les pires soirées rock et gothiques du monde (#electricballroom, #slimelight), et bien sûr ramener quelques fringues introuvables ici. Désormais j'y vais surtout pour me balader, respirer l'air de cette ville que j'aime temps, entendre l'accent des gens dans les commerces et les pubs et bien sûr, faire un shopping de professionnel. Je n'achète presque rien ici, alors je me lâche quand je vais à Londres à ou Berlin!

Mes adresses incontournables à Londres: 

Top Shop, la Mecque. Je fais toujours le plein de bijoux de pacotille, de collants, chaussettes, voire un sac et sinon je file directement tout en bas, près des cabines d'essayage, il y a quelques portants avec des créatrices invitées, adeptes de style rétro. C'est là que j'ai découvert Tara Starlet ou Friday on my mind. Cette fois, c'est Miss Patina, qui m'a fait craquer sur cette robe trompe-l'oeil tellement Peggy de Mad Men, et aussi Lovestruck chez qui j'ai acheté un gros pull en laine marine avec des petites roses brodées sur le devant. Des marques que he vous recommande chaudement!


A côté de Top Shop, il y a le Urban Outfitters historique de Londres, trois étages de fringues et de gadgets branchés. Et pour nous aider à dépenser nos pépettes, il y a en a deux nouveaux, un àà Camden Town et un à côté de Primark, au bout d'Oxford Street côté Marble Arch. De même il y a un autre Primark avec moins de monde à l'autre extrémité d'Oxford Street, côté Tottenham Court Road. Bref, au UO de Camden j'ai trouvé cette adorable robe chasuble noire à petites roses parfaite sur un leggings pour dissimuler des cuisses un peu fortes et un ventre rondouillet. J'utilise un euphémisme puisque je dois m'habiller à nouveau en taille 44 (46 française), merci 2013!!! A ce stade de pré-obésité, je bénis Uniqlo qui a inventé le leggings pantalon, un must pour les rondes!!! Rien à foutre de leurs doudounes ultralégères disponibles en 122 couleurs et modèles, j'ai juste acheté chez eux ce legging et un sous-pull thermique en prévision de la saison de ski (vive la technique japonaise?


A Camden justement, je passe rapidement la High Street pour me rendre directement du côté de Camden Lock et surtout Camden Stables Market où la marque Collectif a un grand espace en haut d'un escalier. Là, je suis sûre de ne pas partir les mains vides. Butin de cette visite: une chemise de cowboy en vichy noir avec des hirondelles brodées sur la poitrine, un cardigan de cowboy incroyable avec un énorme patch de roses, et cette robe émeraude année 40 IN-CRO-YA-BLEU (sur la photo elle est en marine, mais en vert, elle déchire encore plus)! Shopping on line possible.








Côté chaussures, je suis empruntée avec mes pieds si fragile alors je vais capitaliser sur mon stock existant et arrêter d'acheter 4 ou 5 paires par saison que je porte une fois avant d'essayer de les revendre tellement elles me font mal. Cette fois, j'ai quand même craqué pour des New Balance toutes simples. Je ne voulais pas céder à la mode des sneakers fluo, mais je me suis dit que peut-être, j'arriverais à me motiver à courir de temps en temps. A Top Shop, j'ai aussi craqué pour des Doc Martens métallisées que je n'ai pas achetées tout de suite car je trouvais que j'avais déjà pas mal abusé et que ma petite valise cabine n'arriverait pas à les contenir. Avec raison, après ma razzia chez Primark de fringues pour mon neveu (un teddy taille 3 ans, c'est irrésistible) et ma nièce (une robe en écossais style Monster High, elle va tellement adorer), chaussettes, collants, slips et papier d'emballage de Noël trop bien. Je n'arrêtais pas d'y penser cependant, et je les ai même trouvées sur le shop on line de la marque pour 85£. Mais comme j'étais de passage à Paris jeudi pour une conférence de presse Clarins, j'ai profité de mes deux heures de libres avant le TGV pour faire un saut aux Halles et hop, elles sont désormais miennes. Hé oui, bientôt 40 ans et toujours des shoes d'ado. Mais celles-là, en silver, je les trouve super classes avec un pantalon à plis noir et même avec une robe, tiens!

 
Et sinon ben côté soirées, on a raté pas mal de choses, surtout qu'on était le week-end avant Halloween, mais voilà, à notre grand âge, c'est un petit resto, un Pimm's et au lit! :-(

Je vous raconte dans un autre post, ok?

vendredi 8 novembre 2013

Belle et l'abeille, les héroïnes de Melvita


A peu près en même temps que Burt Shavitz dans le Maine, Bernard Chevilliat fondait sa marque autour des produits de la ruche en Ardèche. Melvita est née en 1983, un an avant Burt's Bees. Les deux entreprises partagent des destins similaires et surtout un même amour de la nature et des abeilles. Burt était apiculteur et fabriquait des bougies avec les restes de cire. Sa rencontre avec Roxanne Quimby, une graphiste, débouche sur l'idée de concocter des savons et des baumes, et la petite entreprise s'envole vers le succès mondial, avant d'être rachetée en 2007 par le groupe Clorox. De son côté Bernard Chevilliat, biologiste et apiculture, lance avec sa femme et son frère un petit commerce de savons au miel qui connaît lui aussi un notoriété grandissante. En 2008, Melvita devient propriété de L'Occitane qui lui donne les moyens de se développer dans le monde entier et notamment en Asie, avec l'ouverture de nombreuses boutiques.
Melvita et Burt's Bees proposent toutes deux désormais des gammes complètes, des shampooings très doux aux soins visage tout aussi délicats. Melvita est certifiée bio depuis 2002, une pionnière. Je connais bien les produits au miel Apicosma et les shampooings que j'utilise régulièrement. J'ai découvert un produit génialissime pour les peaux sèches et sensibles, L'Eau extraordinaire Fleur d'Oranger, une eau florale améliorée à l'acide hyaluronique naturel. Je l'utilise comme un sérum, avant ma crème, et c'est un pur bonheur. Je pense que ce sera mon nouvel allié des voyages en avion, car avec sa contenance de 100ml, on peut tout juste l'emporter en cabine, dans le petit sachet en plastique cher aux contrôleurs de la sécurité!


Parmi les autres produits, le mélange d'huiles sèches (sans silicone, 100% naturelles) L'Or Bio est un basique à avoir tout le temps sous la main. Et la gamme pour le visage à la rose est un délice. Côté déo, je l'ai écrit et le soutiens encore, c'est le seul déo sans sels d'aluminium que j'ai trouvé efficace et que j'utilise au quotidien. Voilà voilà!
Pour fêter ses 30 ans, Melvita soigne sa communication en s'octroyant les services de deux égéries, Belle et l'abeille, version plus fleurie de la belle et la bête, je suppose!




En Suisse on trouve Melvita chez Manor et Coop City, et dans certaines boutiques bio, les points de vente sont listés sur le site qui fait aussi vente en ligne. La photo ci-dessus a été prise à la boutique Attitude Bio, à Carouge, rue Ancienne 16.

Et vous Melvita, vous connaissez, vous cautionnez?

dimanche 3 novembre 2013

Beauty Haul London



Le week-end dernier, j'étais à Londres avec des copines. Je l'aime tellement cette ville que j'y vais une à deux fois par année environ depuis 20 ans, mais là ma dernière virée remontait à 16 mois... Au programme, une journée à Camden Town, une journée à Brick Lane et Spitalfields Market (que je ne connaissais pas), un Afternoon Tea sur le thème d'Alice au Pays des Merveilles au Sanderson (réservé il y a trois mois, hé hé, on ne se laisse plus avoir) et du shopping à Oxford Street (Primark, Top Shop et Ourban Outfitters, mais aussi Dorothy Perkins, River Island, Uniqlo, Schuh, Aldo, Office, et Boots).


Côté beauté, je n'avais rien de spécial en tête, j'ai ma dose de Soap & Glory, Benefit, Neal Yard Remedies, Sanctuary, Rimmel, Pond's ou Cath Kidston (j'en ai fait la pub ici). Mais deux produits français me titillaient, que j'ai trouvé à Londres pour la moitié du prix je pense. J'avais reçu juste avant de partir L'Eau de teint Nude Magique de L'Oréal mais pas du tout dans ma couleur, damned. Ce produit m'intriguait à force de voir la pub partout en France. Je l'ai achetée en Ivoire doré pour 6 £ 99, soit 10 fr 50 (elle coûte 23 fr ici) et je l'adore! J'aime beaucoup la gamme Nude Magique, qui tient ses promesses de maquillage invisible. La poudre BB par exemple est fantastique, si fine et tellement discrète. L'Eau de teint est une prouesse de formulation: on en met quelques gouttes sur les doigts, un peu comme avec un flacon de parfum, et on l'applique très vite car elle s'évapore rapidement pour ne laisser qu'un voile unifiant invisible, avec une sensation peau nue dingue.


Deuxième objet du désir, la Poudre de Riz de Java de Bourjois, rééditée pour les 150 ans de la marque, que j'avais vue lors de ma visite à Paris pour la présentation à la presse mais qui tarde à être disponible en Suisse (le distributeur m'a dit qu'il avait du retard par rapport aux autres marchés, mais elle devait quand même être en magasin début octobre, or il n'en est rien). J'avoue être un peu déçue: la boîte est toute petite, et ce n'est pas une poudre libre classique mais une poudre illuminatrice, donc blanche irisée. Le fini est très discret cependant, on peut sans problème l'utiliser au quotidien sur tout le visage. J'ai eu un frémissement en lisant la liste des ingrédients, car la poudre de riz, qui devait sans doute composer essentiellement le produit en 1879, n'arrive qu'en 13e position, après notamment le dioxyde de titanium, nanoparticule très controversée, le phénoxyéthanol, un conservateur perturbateur endocrinien, le parfum etc... Zut! Je garde l'objet pour décorer ma salle de bain, mais bon, je suis déçue... Je l'ai payé 9 £ 99, soit une quinzaine de francs suisses.


Sinon j'étais tombée dernièrement sur ce produit en cherchant des images pour un sujet sur la protection des lèves en hiver. La vaseline est un classique aussi vieux que la Poudre de Riz (1872) et malgré quelques réticences des défenseurs de l'environnement, ses vertus protectrices et émollientes pour la peau restent un must, notamment côté tolérance... Côté composition, le contenu, c'est l'ingrédient, de la gelée de pétrole, donc... La version verte a été améliorée avec de l'Aloe Vera et a un léger parfum. Pour protéger les lèvres du dessèchement, c'est l'idéal donc, mais aussi efficace pour les mains et les cuticules... Ca vaut que dalle, la preuve, je les ai ajoutées à mon panier à la caisse du Primark pour 1£...


Je suis partie avec une manucure catastrophique, un rouge gratté du plus bel effet si je voulais coller à la tendance grunge. Je n'avais pas envie d'emporter du dissolvant, me disant que je trouverais sans doute des disques imbibés plus pratiques chez Boots. J'ai trouvé mieux, une version miniature du dissolvant express de Sephora (copié depuis par Bourjois, Maybelline et L'Oréal), pour environ 2 francs également!

Comme vous le voyez, j'ai été plus que sage, mais faut dire que je suis déjà saturée de produits chez moi... Il n'en a pas été pareil pour les fringues.... (à suivre)