dimanche 29 avril 2012

Fat killing, la guerre continue

Deuxième pot de crème fat killer terminé, deux mois et demi après le début de ma cure, on ne peut pas dire que ce soit la fête du slip mais on va dire que c'est mieux que rien: -3 cm au pneu, -4 aux hanches et -2 aux cuisses, c'est toujours ça de gagné, mais depuis le temps, je devrais être à -10 partout! Faut dire que je fais mes exercices mais pour ce qui est des plaisirs de la table, j'ai pas été très spartiate!

samedi 28 avril 2012

Pimm's & crumpets

Vue de ma chambre
 Le jardin de l'hôtel Hempel, vu dans 4 mariages et un enterrement...
 Notting Hill
 
Tenue de soirée:
robe Chabada Vintage,
sac Les Cakes de Bertrand,
chaussures Chie Miara,
broche Stardust Zurich

 Aqua Kyoto

 Petit-déjeuner du room service

 Vitrine Illamasqua, Beak Street

Kiehl's @ Liberty

vendredi 27 avril 2012

A quoi ressembleriez-vous après un mois sans cosmétiques?

 Lundi et mardi, j'étais à Londres pour le boulot. En rentrant, dans l'avion, j'ai lu le Daily Mail et me suis délectée de cet article que je suis jalouse de ne pas avoir écrit moi-même et qui constitue un excellent compliment à mes récents billets sur la Slow Cosmétique. Consciente d'être une accro, la journaliste s'est lancé le défi de passer un mois sans produits de beauté autres que ceux nécessaires à son hygiène. Soit pas d'après-shampoing ni de produits coiffants, pas de crème anti-rides, pas de maquillage bien sûr mais pas d'épilation non plus ni même de lait hydratant pour le corps. L'horreur... Voici à quoi elle ressemble après un mois:

 Tout le monde lui demande si elle est malade, le facteur s'excuse de l'avoir tirée du lit à 16h (alors qu'elle était juste au naturel) et elle finit par éviter toutes sorties entre amies... Le seul qui ne semble avoir rien remarqué, c'est son mari, comme quoi, c'est vraiment pour soi que c'est le plus difficile à vivre. Blonde naturelle, la pauvre avoue ressembler à un oeuf mollet sans maquillage des cils et des sourcils. Sa peau se couvre de fines ridules et ses lèvres pèlent faute de Carmex... Elle semble avoir vieilli de 10 ans tout en ayant l'air une enfant avec ses ongles pas soignés et ses cheveux mous. Et surtout, elle a le moral dans les chaussettes et n'apprécie pas du tout le temps gagné le matin (perdu à trouver la force de sortir affronter le monde sans mascara) ni l'argent économisé (qu'elle estime à 40£, mais l'ex-belle avoue des habitudes de consommation esthétique extrêmes, lissage des cheveux, teinture des sourcils, extensions des cils, manucure, microdermabrasion etc, une vrai beauty addict). Bref, je ne sais quelle leçon tirer de cette beauty detox, si ce n'est de trouver un juste milieu? L'hydratation ne me semble pas un luxe, et une touche de rouge à lèvres et de mascara, ça change tout dans une journée. J'en fait souvent l'expérience, moi qui fait souvent l'impasse sur le maquillage le matin, mais c'est parce que j'assume et même entretient mon air évanescent. Oui, j'aime avoir l'air d'un fantôme, comme je l'ai déjà dit ici, je trouve épuisant d'être toujours au sommet de son potentiel. Et souvent, je n'ai pas envie qu'on me remarque alors je m'efforce d'être le plus transparente possible! Chacun sa routine!


 Je reviendrais sur ces deux jours à Londres dans un prochain billet mais je voulais quand même vous montrer fièrement mes humbles achats. Quatre heures de shopping autour d'Oxford Circus et je n'ai - quasi - rien acheté. J'étais trop fatiguée pour avoir la fièvre acheteuse (alors que j'étais à Londres, putain!!!) et j'ai erré les mains dans les poches, Topshop, Urban Outfitters, Office, Schuh, Aldo, River Island, Marks & Spencer (j'ai acheté des crumpets et un Coca zero), Anthropologie (mon but ultime), Muji et Boots où je suis restée une heure devant les étalages de maquillage, essayant de me rappeler les marques que m'avaient conseillées mes copines blogueuses, perplexe devant les stands Benefit, Soap & Glory, Sanctuary, Too Faced (j'ai finalement acheté un mascara Rimmel à l'aéroport). De toutes façons, j'avais une toute petite valise cabin size pour deux jours et comme je devais ramener tout le matériel presse reçu à la présentation, je n'avais pas la place pour y glisser plus qu'un T-shirt (une robe d'été à la limite mais je n'en ai pas trouvée...). Voici donc mon butin: des semelles coussinets chez Topshop pour essayer d'avoir moins mal aux pieds (ça devient un vrai handicap) et trois paires de boucles d'oreilles avec des têtes de mort (visiblement toujours à la mode) chez Urban Outfitters et River Island.


Demain, quelques images (60 en fait) prises avec mon nouveau smartphone!!!

dimanche 22 avril 2012

Polly n'aime plus Stephen King


Dans l'esprit de Rona Jaffe mais 20 ans plus tôt, voici l'histoire de Katey, dactylo dans un cabinet d'avocats de Manhattan à la fin des années 30. Un soir de réveillon, Katey et Eve, la jeune femme qui partage sa chambre dans une pension, rencontre le beau et riche Tinker dans un club de jazz. Une amitié triangulaire ambigüe s'instaure entre eux mais un accident de voiture va bouleverser leur destin. Eve est estropiée et défigurée et Tinker qui conduisait l'installe chez lui, dans son incroyable appartement de Central Park, pour soulager sa conscience. Intelligente et déterminée, Katey poursuit son chemin en recroisant de-ci, de-là, ses anciens compagnons de fête, et manque plusieurs fois ses retrouvailles avec Tinker. Entre la Grande Dépression et la Seconde guerre mondiale, l'Amérique vit une période qui transforme les banquiers en clodos et les dactylos en femmes d'affaires, sans suivre de règles. Celles qui sont évoquées dans le titre font référence aux "110 règles de bienséance et de bonnes manières dans le monde et dans la conversation" écrites par le jeune George Washington et retranscrites à la fin de ce roman. Pour se plonger dans les vestiges d'un temps révolu, au son de Cole Porter en buvant du martini. Définitivement mon roman rétro favori. Je partage d'ailleurs la passion pour la littérature de l'héroïne, qui y puise sagesse et divertissement, et j'ai foncé m'acheter son livre fétiche, Les grandes espérances de Dickens pour ne pas laisser la magie de cette lecture se dissiper trop vite!
Les règles du jeu, de Amor Towles, Albin Michel, 504 p.

Pour Noelle Hancock, c'est plutôt Eleanor Roosevelt qui fait office de mentor et les éléments de biographie de la célèbre First Lady américaine sont de loin la partie la plus croustillante de ce récit. Noelle, jeune journaliste web de Manhattan, perd son job du jour au lendemain et se remet complètement en question à l'aube de sa trentaine. Elle décide donc de s'accorder une année pour affronter ses peurs, une par jour pour avoir un rythme, dont ce livre est le compte-rendu. Nager avec des requins, faire du trapèze ou parler en publique, on baille d'ennui dès le premier chapitre tant les détails sont inutiles et les conclusions attendues. Un Mange, prie, aime à l'heure du Web auquel on a de la peine à s'identifier. A l'instar de Julia Child qui avait détesté le projet de la jeune Julie Powell (un an pour réaliser les 524 recettes du livre culte de la cuisinière, le tout raconté sur un blog), je suis sûre qu'Eleanor Roosevelt a dû se retourner dans sa tombe! Tout comme Les règles du jeu, cela m'a donné envie de lire les classiques évoqués dans le récit, ici l'oeuvre de l'énergique femme de Franklin, dont Ma vie, son autobiographie, et You learn by living, 11 keys for a more fulfilling life.
L'année de mes peurs, de Noelle Hancock, Philippe Rey, 348 p.

Un bon petit polar anglais comme je les aime pour terminer, avec Nous serons inséparables. Après avoir vécu des années rock'n'roll à Londres. Rose s'est installée à la campagne avec son mari, peintre, et ses deux petites filles, dans la maison qu'ils ont retapée eux-mêmes durant deux ans. Calme et sérénité volent en éclat quand Rose reçoit un coup de fil de sa meilleure amie Polly partie vivre en Grèce dont le mari vient de décéder accidentellement. Antithèse parfaite de Rose et ancienne chanteuse tourmentée style PJ Harvey, Polly débarque avec ses deux garçons très mal élevés, ses mauvaises habitudes et quelques secrets du passé qui vont obliger Rose a accepter l'inacceptable sous son propre toit. L'étau se referme gentiment sur cette pauvre Rose (à laquelle cette fois on s'identifie pleinement!) et la dernière partie du livre s'accélère brutalement pour ne plus nous le faire lâcher. Le genre de livre qu'on referme avec soulagement! Avec plein de références rock. les beaux paysages du Sud de l'Angleterre, et l'inimitable style de vie british, entre tea time et virées au pub!
Nous serons inséparables, de Julia Crouch, Presses de la Cité, 459 p.

Je me suis également plongée dans le dernier Stephen King, Nuits noires, étoiles mortes, quatre nouvelles du maître de l'horreur. J'ai lu la première en réprimant mon dégoût et apprécié le style de l'écrivain américain que je n'avais plus abordé depuis des années. L'art de distiller sur 182 pages un scénario qui tient en trois lignes (1922, un fermier du Nebraska tue sa femme devenue gênante avec la complicité de son fils et passe le reste de sa vie bouffé par les remords), et qui pousse très loin le registre de la cruauté et de la perversion humaine. La deuxième nouvelle parle d'un viol et j'ai abandonné dès que je l'ai compris, pas envie de vivre ça à travers les yeux d'un psychopathe. La troisième a un air de déjà vu quand un homme atteint d'un cancer incurable croise un marchand ambulant qui lui vend une "extension de vie", à condition de prendre ailleurs ce qu'il va lui offrir. Terrible, tout simplement, traumatisant même, au point que je n'ai pas voulu entamer la quatrième nouvelle de ce recueil sorti le mois passé chez Albin Michel. Brrrr, mais ce type est vraiment malade! Je dois dire que cela faisait longtemps que je n'avais plus lu un Stephen King, mais quand j'étais ado, j'ai dévoré la plupart de ses romans cultes, Cujo, Christine, Shinning, Carrie, Salem, Le Fléau, Dead Zone, Charlie, Simetierre, Ca, Misery, les Tommyknockers, La part des ténèbres, Bazaar, Jessie, Désolation, Dolores Claiborne et Rose Madder, le dernier pour moi, en 1997. J'ai lu aussi ses nouvelles Brume, Minuit 2 et Minuit 4, et les romans écrits sous le pseudo de Richard Bachman, La peau sur les os (terrible!!!) et Les Régulateurs... J'ai aussi vu toutes les adaptations au cinéma... Mais là, je peux plus! Peut-être que j'ai mûri?!

vendredi 20 avril 2012

Peggy Sage à Lausanne, c'est mieux que gagner à l'Euromillion

Huuu, vilaine fille, une semaine sans poster et après, elle pleure après ses stats désastreuses... Mais voilà, je travaillais sur un sujet spécial vernis à ongles pour mon canard et j'ai découvert comme d'hab un univers fascinant et des filles fantastiques. Je comprends mieux cette folie du nail art. Surtout, j'ai bon espoir après tout ce que j'ai vu et entendu d'avoir bientôt des ongles pour de vrai et pouvoir ensuite moi aussi me la péter avec des dessins de catcheurs mexicains dessus... Et je ne résiste pas au plaisir de partager avec vous quelques infos que j'ai réunies pour mon papier grâce aux deux stars romandes du nail art, Funambuline, que je lis avec bonheur depuis des années et 10tubes, que j'ai découvert il y a peu avec autant de plaisir.

D'abord, sachez que le vernis est une valeur refuge en temps de crise, le petit accessoire qu'on peut s'offrir pour trois fois rien (il y a des vernis à 5 balles et moins...) pour mettre un peu de couleur au bout de ses doigts et dans son quotidien. Bref, y'a pas que les it vernis dans la vie (suivez mon regard)... Que certaines marques dont j'entendais parler depuis longtemps sur la Toile sont disponibles en Suisse. L'arrivée de Essie a certes été largement relayée par les médias, mais je ne savais pas que China Glaze était en vente à Manor (le mur de présentation est impressionnant avec toutes ses couleurs flash). J'avais rencontrée Florence, la patronne du Nail Bar (2 adresses à Lausanne et 2 à Genève), jamais en retard d'une tendance, qui vient d'ajouter à son assortiment (elle avait Essie avant tout le monde et OPI depuis toujours) la marque Butter London, des vernis classe et rock'n'roll aux noms à l'humour british et garantis sans toluène, formaldéhyde et DPB (un phtalate). J'ai appris au passage qu'OPI avait également allégé ses formules de ces substances chimiques indésirables, même si elle ne le communiquait pas beaucoup. Mais surtout, j'ai découvert que la marque Peggy Sage, au nom délicieusement rétro qui ne peut que plaire à Polly Perkins, était en vente à La Boutique du coiffeur, un magasin assez grand qui vend toutes sortes de produits pour les cheveux mais aussi pour les ongles. J'y avais d'ailleurs découvert la gomina de Mr Ducktail, que nous avions ramenée de Londres après que mon bonami se soit fait couper les cheveux chez le célèbre coiffeur de Carnaby Street. A Lausanne, cette bonne adresse est sise rue de l'Ale, je crois qu'à Genève il y en a deux, rue de Lausanne et au Petit-Lancy, ainsi qu'une enseigne à Montreux. On y trouve donc un vaste assortiment Peggy Sage, mais aussi les accessoires Konad pour se faire des manucures "stamping" (un truc de ouf). J'ai choisi pour une première couleur un rouge classique comme je les aime, et deux produits pour suivre les conseils de Funambuline, une huile fortifiante et un diluant. Elle m'a assuré que si je me massais tous les jours le contour de l'ongle et surtout la matrice, à la naissance, ils cesseraient de se dédoubler et j'arriverai peut-être à me guérir de mon toc! Et pour prolonger la vie d'un vernis, ça ne sert à rien d'y mettre du dissolvant, il faut mettre du diluant, trois gouttes et il est comme neuf. Je vais donc tester tout ça!


J'ai craqué par la même occasion pour un lait pour le corps bio, car je ne le savais pas, mais Peggy Sage fait également des soins visage et corps. Il y avait aussi une eau micellaire que je prendrai la prochaine fois si les essais sont concluants. Et voilà, ce post rend caduque le précédent puisque je n'avais évidemment besoin d'aucun de ces nouveaux achats, mais voilà, j'étais euphorique après l'achat de mon premier Smartphone (hé oui, Polly quitte les 50's pour entrer directement dans la vie.02) et un peu triste de ne pas avoir gagné à la loterie vendredi passé, le 13, jour de l'anniversaire de bonami, malgré que le 13 soit sorti à la fois à la Loterie Romande et à l'Euromillion, et que je l'avais évidemment coché les deux fois (mais pas les autres bons chiffres)...

Demain, je vous parlerai de mes dernières lectures, sujet un peu moins futile, quoi que! Bon week-end!

vendredi 13 avril 2012

Les temps changent

Reçu cette semaine: le livre de Julien Kaibeck que je découvre par la même occasion, Adoptez la slow cosmétique (conseils et recettes de beauté pour consommer moins et mieux). C'est gonflé de balancer ça comme ça, mais cela m'inspire de profondes réflexions (oui, en beauté aussi on pense) car qu'on le veuille ou non, le monde est en train de changer et la société de consommation aussi. Les beaux mythes des années 50 ont atteint leur paroxysme et vont forcément décliner. Notre mode de consommation est suicidaire. Alors qu'à Lausanne, on reparle de taxer les sacs poubelles, je suis effarée de voir le nombre d'emballages que nous jetons... Vu sur Facebook l'autre jour, un texte merveilleux (à lire ici) sur la génération de nos grand-parents qu'on accuse d'être responsable des problèmes écologiques actuels... réfléchissez au nombre de biens de consommations dont nos aïeux avaient vraiment besoin et combien les gestes du quotidien étaient plus simples (bouteilles du laitier qu'on remplissait chaque jour, fruits et légumes, viandes etc non emballés, un produit ménager qui faisait tout, enfants qui allaient à pied à l'école et pas dans le 4X4 de Maman, etc etc).

En cosmétique, c'est pareil. On nous fait croire qu'on a absolument besoin de nouveaux produits chaque semaine et on nous vend du rêve. De plus en plus de gens expriment une opinion contraire et nous invitent à revenir à l'essentiel. J'ai découvert le blog de Julien Kaibeck qui défend dans ses vidéos une approche minimaliste de la beauté. Après le slow food, le slow sex, la slow life en général, on freine également sa frénésie de produits de beauté avec la slow cosmétique. L'image qui m'a le plus marquée dans son livre c'est quand même tout ce qui finit dans le tuyau d'écoulement de la baignoire et dans la poubelle de la salle de bains, cotons imprégnés de lotions diverses, lingettes démaquillantes pour ôter la couche de fond de teint qu'on s'est mis le matin, c'est quand même absurde, non?

Et je me rends compte que de nombreux sujets que j'ai traités ces derniers temps sont cohérents avec cette mutation. Faire ses cosmétiques soi-même, éliminer les sulfates et les silicones de ses shampoings, utiliser des huiles végétales et des eaux florales... J'avais rencontré il y a longtemps Cyrille Saura Zellweger, créatrice des produits Wild and Wise aujourd'hui exilée au Canada et j'avais adoré sa philosophie de vie (lire son livre Faire ses cosmétiques naturels, c'est facile, chez Jouvence). J'ai interviewé d'autres filles qui font leurs petites crèmes avec beaucoup de talent et tout près de chez nous (empreinte CO2 proche de zéro), comme Alexia à Gland, Sarah à Lausanne ou Alexandra à Bulle (visitez leur site et consommez sans modération, là!).

Comme je l'ai dit plus haut, le changement se fera avec ou sans votre consentement, c'est obligé, et c'est à mon avis en ça que consistera la fin du monde annoncée... pour dans 8 mois, aaaaaaaah!

Alors, ça vous parle, ça vous énerve, vous êtes prêtes à consommer moins?

samedi 7 avril 2012

E-shopping de printemps

Que faire par un triste samedi de Pâques brumeux et humide? Du e-shopping pardi! Je vous avais déjà parlé de mes chaussures de swing Miss L Fire... La collection de printemps est arrivée, juste sublime, et disponible en partie sur Zalando, ma nouvelle perdition en matière de VPC... Heureusement le modèle qui me plaît le plus n'y est pas, ouf (c'est le comble, être soulagée de ne PAS trouver l'objet de ses rêves mais bon, mes armoires et bonami apprécieront). C'est le modèle Sonny Red, à 89£90, sur www.misslfire.com


Du coup, j'ai découvert Zalando, et ce fut la merde... Des milliers de chaussures et vêtements, des robes rétro pour trois fois rien, livrées sans frais et sur facture, retour sans frais également, c'est la fin de mes résolutions de moins acheter de fringues... Commandé trois robes de la marque Mint & Berry, trop contente. Des robes chemisiers, des robes en jeans, etc etc...

Robe Hilfiger Denim, 150 fr:

Ensuite, en cherchant un site suisse qui vendait le Gingerdead Man Cookie Cutter Stamper, je suis tombée sur www.enjoymedia.ch, une mine de gadgets inutiles et géniaux...

Planche à découper vinyle, 29 fr 95.

Etagère à pâtisseries, 34 fr 95

Crème pour les mains à la cerise dans une boîte cupcake, 8 fr 95

Minuteur hamburger, 9 fr 95

Suspension en papier ambiance cabinet de curiosités, 19 fr 95.

En cherchant des décorations pour cupcakes en têtes de mort, pour le buffet d'anniversaire de mon bonami, j'ai découvert un site suisse qui vend tout le matos pour concocter les petits cadeaux les plus féériques, www.kitschcakes.ch. On peut aussi s'inscrire pour des ateliers, dans la région de Bienne visiblement.


Et enfin, la meilleure nouvelle du mois, ce fut la découverte dans le catalogue des superpoints Coop du toaster Mini. Commandé illico, tiens!

jeudi 5 avril 2012

Les meilleurs mascaras du monde

J'ai bookmarké il y a quelques temps un article qui donnait le top 10 des meilleurs mascaras du monde dont je voulais vous faire part... Je ne crois pas qu'ils sont numérotés mais ce panel contient le mascara They're real! de Benefit que j'avais acheté à Paris en février. Dans ma crise d'achats compulsifs chez Sephora, j'avais fait confiance à la vendeuse qui m'assurait que c'était le 3e best-seller du magasin. Je voulais vous en parler et franchement, je n'ai pas été ébahie par le résultat. C'est un très bon mascara mais j'ai vu mieux. Je n'ai pas été bluffée par la brosse pseudo-révolutionnaire parce qu'elle a à la fois des picots et une pointe en boule de ramoneur pour peigner les petits cils aux coins des yeux. Et le résultat est sympa mais bon, le Lash Queen, le Diorshow ou encore le faux-cils de Maybelline sont plus spectaculaires et tiennent mieux j'ai l'impression dans la journée.



J'étais quand même contente de voir que je connaissais et approuvais la plupart des produits de ce hit-parade, dont voici le résumé.

1) Great Lash de Maybelline (le grand classique et le moins cher)
2) Diorshow Mascara (mon préféré)
3) Lancôme Definicils Haute définition (Lancôme est très fort en mascaras)
4) CoverGirl LashBlast Volume (testé mais je ne me rappelle plus très bien)
5) Benefit They're Real! (cf plus haut)
6) Clinique Bottom Lash Mascara (j'aime bien le High Impact, je ne connais pas celui-ci)
7) L'Oréal Voluminous (je ne le connais pas, dans la jungle des mascaras L'Oréal qui se valent tous)
8) Nars Larger than Life Volumizing Mascara (j'aime beaucoup cette marque mais on ne la trouve presque pas en Suisse romande)
9) Shu Uemura Ultimate Natural Mascara (pas dispo en Suisse, connais pas)
10) Guerlain Noir G (le dernier né, pas encore testé mais packaging trop lourd à mon goût)

Je suis étonnée de voir que malgré que ce classement soit américain (Harper's Bazaar sauf erreur), on connaît la majorité des marques. Mais ceci explique peut-être l'absence des musts que sont pour moi YSL et Helena Rubinstein... Aucun mascara bio ou dermato (Respectissime de La Roche Posay, trop français I guess)

Et vous, vos mascaras préférés, vous y êtes fidèles, ou vous êtes toujours en quête du mascara parfait?

dimanche 1 avril 2012

BB creams, suite et fin

Parfois, il serait bon de revenir quelques semaines après un billet pour refaire un topo sur des produits qui nous avaient emballées... La polémique fait rage autour de la BB cream Garnier, et personnellement je trouve ça exagéré pour une crème à 14 fr. Elle convient ou pas et ensuite chacun fait ce qui lui plaît. Soyons des consommatrices averties. Ces BB creams ne sont qu'une mode... J'en ai testées deux autres arrivées déjà ou bientôt sur le marché, celle de Dior (le 9 mai) et celle de Lauder (fin janvier)... Verdict.

Tout à gauche, celle de Garnier, version Light, un peu grisâtre. A part qu'elle fait briller comme une otarie, rien à redire, il suffit de poudrer, et comme je ne l'utilise pas tous les jours, je n'ai pas souffert de poussée d'acné comme certaines s'en sont plaintes. Au milieu, celle de Estée Lauder, DayWear BB, crème de beauté multi-action anti-oxydante avec un SPF 35. A l'oeil, elle ressemble beaucoup à la Garnier, mais à l'usage, on voit tout de suite qu'on n'est pas dans la même classe. Elle est super fluide, se fond dans la peau avec cette génération de pigments caméléon (c'est la version light aussi), a une odeur verte fleurie très agréable et elle n'EST PAS LUISANTE! Le hic: elle coûte 50 fr les 30 ml.

Tout à droite, la BB cream Hydralife de Dior, hydratant sublimateur beauté immédiate avec SPF 30. On voit à la texture que ce n'est pas le même type de produit. On dirait franchement un fond de teint, il est super fluide et super couvrant et la couleur était trop orangée pour moi (je n'ai pas vu sur le tube d'indication de teinte, c'est écrit pour tous types de peaux...). Comme je suis restée scotchée sur une terrasse en pleine après-midi le jour où je l'ai testé, j'étais bien contente de la présence de ce SPF. J'avais mis ma crème de jour dessous pour les deux, même si on peut les utiliser seules, j'ai la peau très sèche alors je la sentais pas trop d'y aller directement. Donc voilà, cette Dior était très agréable à porter, j'avais bonne mine mais j'avais l'impression de m'être maquillée, ce que je ne recherche pas absolument. Et le prix, là, est clairement au dessus (prix de vente conseillé 80 fr 50 les 50 ml)... Un produit utile si vous partez un week-end dans le Sud mais pour tous les jours, je sais pas...

Je vote donc pour la Lauder, mais je me demande quand même une chose: mis à part le SPF (de l'oxybenzone dont la toxicité fait débat), je ne vois pas trop la différence avec ma bête crème teintée Kibio que je mets les jours de grise mine, et qui a vue de nez est tout aussi fluide, hydratante, couvrante et embellissante... avec des extraits végétaux bio et qui coûte moins de 30 fr! Marketing, marketing, quand tu nous tiens!